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  • Après l’arrestation de futurs Merah, Valls peut-il interdire la manifestation du 10 novembre ?

    Les animateurs de Résistance républicaine, en lançant un projet de marche contre le fascisme islamiste, le 10 novembre prochain, à Paris, ne pensaient certainement pas que l’actualité allait leur donner raison aussi vite, en mettant en lumière ce que les autorités de ce pays veulent cacher à nos compatriotes : l’existence, sur le territoire national, de réseaux terroristes et de milliers de Merah en puissance qui rêvent de massacrer un maximum de juifs, et d’imposer l’islam à l’ensemble de notre pays. Pourtant, au lieu de se féliciter de cette initiative, qui pourrait permettre un sursaut démocratique contre le pire fascisme, le Préfet de Paris, nommé par Valls, paraît chercher tous les moyens pour l’interdire, utilisant les faux-fuyant habituels. Les animateurs de Résistance républicaine auraient-ils mis le doigt là où cela fait mal


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  • Pierre Cassen : interdiction du voile = guerre civile ?… (vidéo)

    Pierre Cassen, responsable du journal en ligne Riposte Laïque, s’exprime, dans cette interview de 5 minutes, sur la proposition de Marine Le Pen visant à interdire le voile et la Kippa dans la rue. Une loi qui, si elle était appliquée, pourrait faire naître de vives tensions.

    « Si aujourd’hui avec 8 millions de musulmans, on nous dit qu’empêcher le port du voile en France c’est l’ouverture de la guerre civile et que c’est quelque chose d’abominable, cela veut dire que l’Islam est déjà supérieur à la République… ça serait un message terrible.

     Je vous laisse imaginer ce que serait le pays dans lequel nous voulons vivre quand ils seront 15 millions, quand ils seront 20 millions, quand ils seront 25 millions, ce que la démographie et le rythme actuel de l’immigration amènera forcement d’ici 2050. »


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  • Pour alimenter ce nécessaire débat sur la sortie de l’euro, voici cinq raisons de sortir de l’euro, cinq raisons à diffuser au maximum autour de vous    :

     

    • Les performances comparées de la zone euro et de la zone non-euro révèlent un très net avantage à cette      dernière. D’un côté une croissance anémiée, le chômage de masse, des déficits structurels, de      l’autre (Royaume-Uni, Suède, Danemark), des taux de chômage beaucoup plus faibles, une croissance forte et des déficits limités. Voilà pourquoi les trois pays hors euro rappellent régulièrement      qu’il n’adopteront pas la monnaie unique !  

     

    • Raison la plus technique, mais finalement très simple à comprendre : la zone euro n’est pas ce qu’on appelle une «      Zone Monétaire optimale » (ZMO), c’est à dire un groupe de pays ou régions dont les économies sont fortement imbriquées. Les Etats-Unis sont une ZMO alors que les économistes s’accordent pour      dire que la zone euro est loin d’en être une. Les échanges en son sein ne représentent que 15% du PIB de la zone, ce qui est très faible comparé aux Etats-Unis. De plus, peu de travailleurs      d’un pays européen acceptent d’aller exercer leur emploi dans un autre, ce qui ne permet pas à l’Europe d’être une ZMO. Enfin, le budget européen est extrêmement faible, ce qui n’autorise aucun      transfert budgétaire au sein de la zone euro, contrairement à ce qui se passe aux Etats-Unis. Pour résumer, la zone euro n’est pas une zone optimale d’un point de vue monétaire.      L’existence d’une monnaie unique dans cette zone n’est donc pas une bonne solution et représente un frein terrible à la croissance.

     

    • L’euro impose aux Etats européens une politique unique en matière de taux d’intérêt et ne permet pas les      dévaluations parfois nécessaires. Ainsi, alors que les taux de croissance et d’inflation sont souvent très divergents au sein de la zone euro, par exemple entre l’Allemagne et      l’Espagne, les solutions sont obligatoirement les mêmes avec une monnaie unique. D’autant que les Etats ne peuvent pas corriger les désagréments d’un tel système grâce à leur budget      puisque celui-ci est très fortement contraint par le pacte de stabilité (les fameux critères de Maastricht). Même intuitivement, on comprend très bien l’absurdité de cette situation.      C’est comme si tous les malades d’un hôpital devaient recevoir le même traitement ! Sortir de l’euro pour retrouver des marges de manœuvre et une politique plus finement      adaptée à nos besoins spécifiques, tout en collaborant avec nos partenaires, voilà la solution !  
    • La quatrième raison est historique. En effet, l’histoire nous a montré que les monnaies plurinationales      ont toujours échoué, que ce soit en URSS, en Tchécoslovaquie, en Yougoslavie ou au XIXème siècle      entre la France, l’Italie, la Suisse et la Belgique (« l’Union latine »). La création de l’euro a été voulue par des apprentis sorciers gavés d’idéologie. Voilà qui n’est pas      sain.  

     

    • Enfin, l’euro facilite structurellement l’inflation. Chacun l’a constaté, et les associations de consommateurs l’ont confirmé, les prix ne cessent d’augmenter depuis le passage à      l’euro. C’est vrai en France mais également en Allemagne ou en Italie. Cette inflation est due à la perte de repères dont certains ont su profiter, mais aussi à une raison toute simple qui ne      disparaîtra pas : l’unité minimale de l’euro vaut 6,55957 fois plus que l’unité minimale du franc ! Dès lors, même une petite hausse de prix est beaucoup plus importante qu’une petite hausse du      temps du franc. Quand un objet coûtait 1 franc plus cher autrefois, il coûte désormais 50 centimes ou même 1 euro plus cher, soit une augmentation 3 à 6 fois supérieure ! Cela s’explique par      l’importance des prix « ronds », des prix « psychologiques » qui imposent des augmentations tout aussi « rondes », et donc plus fortes qu’avant. Le marketing a ses règles, et quoi qu’on puisse      vous dire, elles ne changeront pas !

       

        Cinq raisons pour sortir de l’euro, juste cinq raisons. Les économistes les plus au fait de la question pourront vous en donner beaucoup d’autres, plus techniques. Mais ces cinq raisons sont déjà    suffisamment imposantes en soi pour nous faire sérieusement réfléchir. A nous maintenant d’animer le débat, comme dans les autres pays européens. Parce que la question de l’euro est trop grave    pour être laissée aux idéologues, exigeons l’organisation d’un référendum sur la sortie de l’euro au lendemain des présidentielles de 2007

     

    Après la Grèce, l'Espagne, le Portugal et l'Irlande ou les handicapés n'ont plus les moyens de s'offrir un fauteuil roulant, ou les mendiants font figures de Musiciens . ( voir vidéo    ci-dessous )


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